Dix ans se sont écoulés depuis le plus grand massacre chimique de notre époque, et pourtant le responsable reste libre.
Plus de 1 400 victimes ont suffoqué cette nuit-là.
Commise par le régime de Bachar el-Assad dans la Ghouta orientale, des gorges ont été étouffées de sang-froid, des yeux se sont éteints, et les échos de leurs gémissements continuent de hanter les meurtriers, implorant vengeance et justice.