Ce parcours a été le fruit des efforts nationaux syriens en collaboration avec le Centre Syrien pour les Médias et la Liberté d’Expression, ainsi qu’avec des organisations partenaires. Il a réuni le courage et la volonté des survivants et des témoins, ainsi que l’expertise en documentation et en droits humains, en tirant parti du principe de compétence juridictionnelle en dehors de la région concernant les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité dans le système judiciaire français.